Notre équipe,
leur histoire.
Yassir Menghoum est responsable de projets chez POMEX. Il nous raconte son histoire en répondant à nos questions.
Qui es-tu ?
Je suis ingénieur en électromécanique.
Mon parcours professionnel a commencé en tant que Responsable Projet, où j’ai géré des projets de A à Z, de la conception technique à la réalisation finale.
Que fais-tu chez POMEX ?
En tant que « Design Engineer » et « Coordinateur de chantier », j’aime voir mes projets prendre forme. La partie la plus délicate d’un projet se situe souvent sur le terrain, où les vrais défis émergent : acquérir de l’expérience, trouver des solutions aux problèmes et se dépasser.
Pourquoi avoir rejoint POMEX ?
Mon engagement chez POMEX est motivé par notre travail avec divers clients. Cette variété d’expériences nous permet de nous adapter à différents environnements.
Chez POMEX, l’entraide est essentielle, et nous sommes soutenus par nos collègues lors de l’élaboration de projets et en cas de difficultés (gestion des risques, coactivité, consensus entre parties prenantes). Mon domaine de prédilection est l’énergie et le transport, et nous disposons des outils pour pouvoir travailler dans ces secteurs.
Une de tes plus belles réalisations chez POMEX ?
Chez POMEX, j’ai travaillé sur un projet d’installation de caméras de surveillance pour un client. Ce projet impliquait une forte coactivité entre la logistique de production et la sécurité des intervenants.
Cette expérience m’a rendu plus polyvalent et m’a permis de mieux comprendre les aspects qui influencent un projet. En tant que membre de l’équipe, je suis impatient de relever de nouveaux défis.
Et à part POMEX ?
Mes loisirs incluent les sports de combat et les LEGO techniques.
Ces activités me permettent de renforcer ma détermination et ma résilience en apprenant à gérer les erreurs et à faire face à des situations complexes.
Les LEGO techniques favorisent la régularité et la compréhension, tandis que les sports de combat m’aident à maîtriser mes émotions et à interagir avec le monde de manière diplomatique. Après tout, les conflits sont comme la guerre : personne ne sort vraiment gagnant, et cela coûte du temps et de l’énergie.